Archives pour l'étiquette création

collectif ôdébi

programmation 2016-2017

« Les textes ont été une nouvelle fois mis en danger, retournés par la pédale de boucle. Quelque chose de nouveau s’est crée dans la perturbation. Les textes lus en direct, ont été enregistrés dans une loop, sur deux pistes distinctes. Envoyer cette matière sonore, en jouant sur les deux pistes, en jouant avec les filtres et les effets, voilà une manière très mécanique de transformer le texte. L’utilisation de la pédale permet une autre écoute. Les mots d’un même texte se retrouvent différés, perturbés, les phrases déconstruites produisent d’autres sens. On retrouve le texte initial, mais avec des débordements. La pédale déconstruit et la part de hasard que génère cette action oblige à écouter autrement le texte en mouvement. L’insistance produite par la répétition des boucles fait entendre des chevauchements de voix, des silences résistants. »

in Cahiers de Poèmes n°74-75, juillet 2016

Naissance du collectif (Lire l’article en entier)
Et pourtant, tous, se sont retrouvés dans les tourbillons de l’improvisation poético-musicalo-corporelle. Un énorme n’importe quoi rempli de perles rares qui ne se vivront qu’une seule fois… De cette rencontre, est né le collectif Ôdébi…

Enjeux du collectif (Lire l’article en entier)
Un collectif artistique commence à voir le jour. Il interroge la poésie vivante par‐ fois turbulente dans sa dimension non maîtrisée, dans la multiplicité des sens, dans son rapport à l’imaginaire. Il interroge l’action culturelle d’ici et maintenant.

Rencontres avec un public

Le travail de la langue

Une première rupture apportée par le secteur écriture a été de considérer l’écriture comme un travail de la langue.  Que veut dire travail de la langue ? Des écrivains tentent d’analyser leurs propres pratiques et de nous en livrer quelques clefs.

Intervention d’Yves Béal sur la question :
Le travail de la langue

Les contraintes

Réécrire

Michel Cosem (Lire l’article « La poésie à l’école » )
Tout d’abord il faut bien se convaincre que la poésie se fait avec des mots, des images, des métaphores et non avec des idées et des symboles. Elle n’est pas un langage mort, bien au contraire, et elle permet toutes les recherches et les transformations possibles. Et c’est parce que parfois on se heurte à des résistances que la poésie nous permet de prendre conscience du travail de la langue. C’est cette vie et ce travail qui nous importent le plus et l’on en situera mieux l’importance lorsque l’on aura rappelé que, selon Wallon, c’est dans le langage que se forme la personnalité de l’être humain. (in réconcilier poésie et pédagogie, 1991)

Pierre Colin (Lire l’article « Le temps d’écrire »  )
La langue est aussi -et toujours- porteuse de fiction, de « sens du sujet », d’imaginaire (Gerald Holton cite « l’usage des métaphores, cette figure style est par excellence le lieu de l’énigme, où le sujet s’occulte, le lieu de la mise en jeu du moi véritable dans la langue, au-delà des rituels mensongers de l’énonciation usuelle).
A l’écrit, le travail de la langue joue un rôle essentiel, par les retours qu’il permet sur la production, par l’usage de la rature -le statut de l’erreur est ici source de création- par le temps, vécu différemment, intégrant davantage les allers-retours dans le passé, ou l’avenir (les temps mêmes sont spécifiques), par des figures plus nombreuses (métaphores plus élaborées) porteuses des désirs du sujet ; métonymies, (plutôt chargées d’idéologie). D’autre part à l’écrit, la résistance du matériau même, son inscription dans l’espace, la gestuelle du corps entier -qui fait alors du signifiant un objet erratique du désir, cette distance en somme, cette trace, en font le territoire d’une rencontre infinie.  (in « l’atelier d’écriture, le pouvoir d’écrire », 1993)

Pierre Colin (Lire l’article « Désir d’écrire, écriture du désir » )
Je cherche à circonscrire ce qui n’est pas encore nommé: ce qui ne peut être nommé, sous peine de mort immédiate du sens: si je dis, c’est pour approcher ce qui se donne au centre comme un rien. C’est ce rien que je ne peux connaître et que mes mots encerclent. Non des mots, mais plutôt un souffle, un rythme singulier, des sons, mieux, des phonèmes, qui insistent, se cherchent, s’assemblent, dans le plaisir, le déplaisir, se heurtent, s’enchevêtrent, s’anéantissent, se superposent, se recouvrent, fusionnent.
Quelque chose de biologique, comme des liquides lourds s’enroulant, se mêlant, se repoussant; tout cela n’aspire qu’à se faire mot, signifiant flou, encore indéterminé, comme une matière qui est prête à se faire sens, mais cherche encore une plus grande proximité de ce rien qui l’attire et en même temps la repousse. Et je sais bien qu’ il faut appeler cela « désir ». Un désir sans objet, sans nom, dont je m’approche et qui se dérobe, encore, toujours…  (in « l’atelier d’écriture, le pouvoir d’écrire », 1993)

Jackie Saint-Jean (Lire l’article « Suppose que tes yeux soient myrtille » )
Plaisir du tracé dans l’espace[…] Plaisir aussi d’explorer les mots, leur forme graphique ou sonore, leur  »corps », leur dérives. Rythmes et sons s’en donnent à cœur joie, mimétiques, parodiques… Multiples sont les métaphores opérant leurs métamorphoses simples ou complexes :  »les mots sont des corbeaux »,  »le soleil chante sous la nuit ».[…]
Si le désir d’écrire précède ici le savoir écrire, […] ici s’inscrit l’intense désir de communiquer : appel à l’autre, demande d’amour, invitation à répondre, poursuivre, inventer, croyance au pouvoir de la parole qui séduit, engage, relie.   (in « l’atelier d’écriture, le pouvoir d’écrire », 1993)

pratiques de création

Que signifie pratiques de création ? Peut-on réellement les définir, si on n’a pas senti la déstabilisation qu’elles génèrent ? Notre pari est d’en proposer le partage. Chacun, à sa manière, parle, analyse, théorise et essaye d’apporter des éléments de compréhension de ce qui peut se jouer dans ce que nous appelons une pratique de création.

Michel Ducom (lire « l’Edito de la revue soleils et cendre » , 2005)
Pour créer, il est nécessaire de « retirer la garde qui veille aux portes de la raison » (selon Schiller, dans une lettre en réponse au critique Körner qui se plaignait de ne pouvoir créer). C’est un travail difficile auquel nous sommes cependant tous habitués puisqu’il en est de même si nous voulons savoir, comprendre quelque chose de neuf. Bien entendu, ce point n’est pas suffisant, mais il est indispensable pour oser commencer à construire un savoir ou pour oser créer. Confrontés à nos censures nous naviguons entre elles sur des chemins convenus. Essayons de les surprendre, de les lever, et les chemins du savoir et de la création prennent l’allure d’une aventure dont le devenir n’est pas assuré mais où le présent devient passionnant.

Dominique Grandière  (lire l’article « Evaluer l’écriture ? Quel gag ! Disons… l’évoluer » )
Les choix qui se font au cour de l’atelier dans le découpage de son propre texte ou dans le pillage des textes des autres sont des actes de lecture véritable, car il n’y a aucune place pour la neutralité, pour le jugement de valeur au nom de critères extérieurs. La validité du fragment choisi tient toute entière dans le pouvoir qu’il a d’engendrer de nouveaux textes. On peut observer ce processus en reprenant ses propres  »brouillons » d’atelier, on s’apercevra que c’est le cheminement même de l’écriture qui évalue ses choix.[…] En tout cas, chaque texte, porté à la nécessité de continuer à écrire, va peu à peu dans ce processus devenir dense, se mettre à résister à la lecture de ses références pour exiger de son lecteur qu’il s’y engage.
Il aura du coup pour résultat de surprendre celui-même qui l’a écrit, de lui faire percevoir qu’il a produit de l’inconnu, du non-existant. Ca s’appelle, je crois, créer.  (in « l’atelier d’écriture, le pouvoir d’écrire », 1993) 

Pierre Colin (Lire l’article « L’ode à la joie » )
« Il faut, dit Bachelard, autant d’énergie à l’homme pour inventer une image nouvelle qu’à la plante pour inventer un nouveau caractère génétique« . Mais ce corps à corps avec la matière rebelle, qu’elle soit langue, ou couleur, forme ou son, obéit à ses lois. Toute pratique de création cherche un chemin vers le réel, qu’elle découpe, qu’elle découvre, « donne à voir », par d’autres voies que celles de la raison. […]
C’est de cela qu’il s’agit : explorer un état de saisissement en deçà des mots et du rêve, pour être en proie à l’Art Brut, le Temps de voir surgir la métaphore, d’en arrêter la folle alchimie mentale, avant qu’elle ne meure dans le poème « comme une aurore aux doigts de roses » (Homère). […]
Puis, reprendre pied, avec la vague apaisée. Reprendre langue avec son corps. Reprendre voix avec le monde. Refaire un pacte avec le sens : créer.
C’est a dire emprunter les entiers qui nous lient au-delà du Temps et de l’espace à tous les hommes en quette de savoir et de rêve. Réinventer les voies de l’hominisation.  (in « l’atelier d’écriture, le pouvoir d’écrire », 1993)

Pierre Colin (Lire l’article « Un savoir en dérangement » )
Oui, la crise existe et nous l’avons tous rencontrée. Je parle de cette part de soi, « bien arrêtée avec des certitudes », que soudain des « météorites mentaux », surgis des grands trous noirs, des grands hasards, de la conscience – viennent ébranler de toute part. […]
Ce qui provoque la crise, c’est l’impérieuse nécessité de s’adapter à la réalité (une autre vérité), qui est toujours peu ou prou, la réalité de l’Autre, ou du groupe. […]
Crise du sens alors, que cette fixation du savoir « en rupture », qui, par une lucidité effervescente déstabilise de proche en proche tout le savoir de l’apprenant. […]
Crise du « savoir sur soi » – c’est à dire par rapport à l’autre, et crise de la connaissance – c’est à dire sur son rapport au réel, quand le savoir acquis se révèle impuissant à prendre en charge la complexité des choses. Car le savoir en rupture ouvre en nous la question « de cet abîme ouvert à la pensé qu’une pensée se fasse entendre dans l’abîme » (Lacan).  (in « l’atelier d’écriture, le pouvoir d’écrire », 1993)

Stéphanie Fouquet (lire l’article « De la transformation de Laplace à la quête de l’imaginaire » )
Le plaisir de la déconstruction, du pas à pas dans les associations d’idées, de sonorités. La plaisir de de l’erreur traquée, comme révélatrice d’une manifestation du réel. L’engagement, l’implication dans les choix à faire, l’écoute du hasard, la place de l’autre. Le plaisir prend la force de désir, les découvertes, les rencontres de mots, la formation d’images, les impossibles prennent corps. La langue se met en travail, et quelque chose se joue de l’ordre de la transformation. Il y a dans ce chaos de mots quelque chose qui se joue malgré moi. Les mots ont leurs aimants, leur spin, au-delà du sens pour le moment. Un monde se déchaîne d’idées, d’envies, de désirs, d’images flottantes, de possibles compactés en trois mots, de phrases sans complément.
Mais qu’est ce que Didier Anzieu peut nous dire de ce qui se passe. Après cet état de saisissement, de crise, la partie de moi restée consciente rapporte de cet état un matériaux inconscient. […]L’activité préconsciente reprend alors son activité de liaison.
Si je continue mon analogie, j’ai appliqué les transformées de Laplace sur ma réalité, je m’expulse dans le monde infini de l’intégrale et commence à broder des possibles grâce à la transformation irrationnelle de la langue. Je lie, relie, délie en appliquant des formules impossibles dans la réalité, dans le symbolique. Je fais naître sans le savoir des métaphores, métonymies, et autres déformations de la langue en la sortant de sa linéarité. J’épaissis les possibles de mes propos par des applications inadmissibles dans l’autre monde, dans le monde symbolique.  […]
Je complexifie pour simplifier, mettre mes tensions à distance. Parce que je sais qu’il existe une transformée inverse, qui permet de revenir dans le système référentiel initial.
On change d’espace pour faire bouger un impossible, un indicible. Puis on revient, avec la banane, et l’indicible exprimé en une langue accessible, une vérité du moment.

Didier Anzieu, le corps de l’oeuvre (Lire l’article en entier)
Le travail de la création parcourt cinq phases: éprouver un état de saisissement; prendre conscience d’un représentant psychique inconscient; l’ériger en code organisateur de l’oeuvre; choisir un matériau apte à doter ce corps d’un corps; composer l’oeuvre dans ses détails; la produire au dehors. Chacune comporte sa dynamique, son économie, sa résistance spécifique.

par auteurs

Anita Ahunon
imageAnita
La cavale des mots (Dialogue 139)
L’atelier et la transmission de l’oeuvre poétique, à la rencontre de deux poètes : Rimbaud et Vallejo (Dialogue 136)
Dans ma tête le défi « Tous capables », Dans mes bagages, l’envie de les accompagner sur le sentier de la liberté (Dialogue 109)
« La poésie m’aura sauvé du pire…» (Dialogue 117)
On est toujours la route pour quelqu’un (Dialogue 118)

Dominique Barberet-Grandière
imageDomiiquePierre Colin nous a quitté, Dominique Barberet Grandière (Cahiers de Poèmes 73)
L’invention de l’atelier, métaphore de la création
 (le pouvoir d’écrire)

Evaluer l’écriture (Le pouvoir d’écrire)
INTIMITE DU POLITIQUE. L’atelier « exo-biographique » (Dialogue 93)
La langue de l’autre (Dialogue 88)

Yves Béal (Voir aussi le site de Soleils et cendre)
imagebeal2L’atelier d’écriture, dans les parages du « Je »…    (Cahiers de poèmes 74-75)
Ecrire. Ecrire ensemble pour vivre ensemble
 (Dialogue 156)
De la page blanche à la scène
 (Dia HS)

Provisions pour l’hiver (Dialogue HS)
Regard croisé sur un atelier d’écriture au collège (Dialogue 123)
Charivari poétique (Dialogue 118)
Activités pour s’initier au monde de l’écrit (Dialogue 115-116)
Ordre de poétisation général (Le pouvoir d’écrire)
Et nous délivrerons les mots. (Dialogue 85)
Ton nom c’est ton destin (Dialogue 80)

Colette Charlet
imagecoletteQuand les mots déménagent (Le pouvoir d’écrire)
A la rencontre de Marô BARBIERI, écrivain, poète, conteuse, animatrice d’ateliers (Dialogue 121)
La lettre, atelier alphabet (réconcilier poésie et pédagogie)
Les orientations de l’atelier d’écriture (Le pouvoir d’écrire)

Pierre Colin (voir aussi le site des ateliers Thotem.)
imageColinLettre ouverte à quelqu’un qui n’écrit pas!
L’homme de l’an de l’autre (Dialogue 57)
Un savoir en dérangement (Dialogue 60)
Une salve contre l’habitude, Créer c’est jouer avec les contraintes (Dialogue 62)
L’égalité est ue idée neuve pour toujours ! (Dialogue 63)
Mythécriture, réenchanter le monde (Dialogue 64)
Poésie, feu rebelle (Dialogue 67)
Science et langue : »la meute chasseresse du poète »… (Dialogue 70)
L’homme se faisant, langue, sujet, concept (Dialogue 73)
Le pourquoi du désir, interculturalité, contes, mythes… (Dialogue 78)
savoir c’est créer, créer c’est apprendre (Dialogue 80)
« cahiers de poèmes » Imagine-toi la langue… (Dial 80)
Muthos : retour à la pensée, une pratique d’interculturalité en éducation (Dia 87)
Les ateliers d’écriture (Dialogue 88)
L’Odyssée de l’Ecriture (Dialogue 90)
Ecrire La Posture de l’Animateur (Dialogue 90)
Dialogues sur la création (Dialogue 90)
L’EVALUATION EN POESIE Enjeux Educatifs – Enjeux de société (Dialogue 92)
Poétique de l’hérésie
La « poésie » est inadmissible
culture(s) et barbarie(s) La nouvelle Alliance (Dial 104)
La création de soi, « l’argonaute s’appelle personne » (Dialogue 111)
Le fabulaire du lectorant, la lecture est une oeuvre d’art (Dialogue 115)
La guerre des imaginaires (Dialogue 117)
Poétique et cybermondes, quand la poésie déménage (Dialogue 131)
Quelles pratiques pour une autre école ? Ateliers d’écriture (Réconcilier poésie et pédagogie)
Atelier de lecture  (Réconcilier poésie et pédagogie)
Moi, le nombrant (Réconcilier poésie et pédagogie)
Mytécriture (Réconcilier poésie et pédagogie)
le corps brûlant de milliards de fêtes (Réconcilier poésie et pédagogie)
La métaphore (Réconcilier poésie et pédagogie)
La fête du signifiant (Le pouvoir d’écrire)
Ecriture et projet (Le pouvoir d’écrire)
Le temps d’écrire (Le pouvoir d’écrire)
Ode à la joie (Le pouvoir d’écrire)
Pour le plaisir d’écrire (Le pouvoir d’écrire)
Egalité, une pédagogie de l’imaginaire (Le pouvoir d’écrire)
désir d’écrire, écriture du désir (Le pouvoir d’écrire)
L’auto-portrait (L’hôte au portrait) (Le pouvoir d’écrire)
Ecrire (Le pouvoir d’écrire)

Michel Cosem
imagecosemAtelier de poésie à partir du texte de Michel Cosem, Réconcilier poésie et pédagogie, 1991
La poésie à l’école, Réconcilier poésie et pédagogie, 1991
Débat avec Michel Cosem l’atelier d’écriture, le pouvoir d’écrire
Une langue en travail, Dialogue 37 Michel Cosem

Patricia Cros
 imagePatriciaCachez ces mythes que je ne saurais voir,     (Cahiers de poèmes 74-75)
Atelier imaginombre  ,  (Cahiers de poèmes 74-75)
Qu’est ce qui dans l’Oeuvre, met le sujet à l’œuvre ?  (Dial 156)
Corps mouvant, corps écrivant (Cahiers de Poèmes 73)
Métaphore en maternelle (Dialogue 154)

Michel Ducom
ImageDucom1Le développement des ateliers d’écriture (Dialogue 137)
Relevons la tête

Les ateliers d’écriture naissent politiques
Rôle de l’animateur
Travailler l’étonnement
Processus de création
Pensée et création
Nouvelle politique publique
Félix Castan a ouvert d’immenses chantiers (Dialogue 99)
La poésie a deux visages (dialogue 117)
Engagement et Atelier d’écriture (Dialogue 95)
Les ateliers et l’imaginaire : mises au point et cartes sur tables ! (Dialogue 90)
Quelles pratiques pour une autre école ? Ateliers d’écriture (réconcilier poésie et pédagogie)
L’erreur dans l’écrit : la rature ou le sujet de l’erreur (Réconcilier poésie et pédagogie)
Mythes et transformation du monde (Le pouvoir d’écrire)
Les mythes (cahier de poèmes 54)
De l’imaginaire et du rêve avec Françoise Efel (le pouvoir d’écrire)
Dessins de marge (le pouvoir d’écrire)
L’écriture est une forme de la pensée
Le pouvoir d’écrire (le pouvoir d’écrire)
Des marches aux seuils de l’atelier (Dialogue 37)
Veillée d’armes (Dialogue 37)

Interviews de Bernard Lubat par Michel Ducom
Je me travaille à la liberté ! (Dialogue 118)
cultivatures et créactions (Dialogue 104)
Engager la mémoire en marche, la pédagogie et la création (Dialogue 95)
L’autre est civilisateur (Dialogue 80)

Eloïse Durand
Les ateliers poésie : la voix, le corps, les cris, Cahiers de Poèmes n°73
Le(s) lieu(x) de la culture, une articulation de soi à l’autre, prolongements L’atelier d’écriture est un lieu de (la) culture; L’atelier-scène : 2014-2016, ici et ailleurs, Cahiers de Poèmes n°74-75
La Rengaine, Cahiers de Poèmes n°74-75

«  Récréatio  » – Abords de la création et construction d’un savoir, Dialogue 156 Comment entendez-vous le concept d’évaluation ? (avec collectif) Dialogue 176

Stéphanie Fouquet
imageStéphanieMémoire de Master 2, UPEC
Les ateliers d’écriture, une imposture ?   Cahiers de Poèmes n°74-75
La spirale des ateliers,    Cahiers de Poèmes n°74-75
L’atelier transforme-t-il  ?    Cahiers de Poèmes n°74-75
L’impossible posture des ateliers d’écriture,   Cahiers de Poèmes n°74-75
Savoir et création : un couple indissociable ? (Dialogue 156)
Atelier de mise en voix  (Dialogue 156)
De la transformée de Laplace à l’atelier d’écriture (Dialogue 156)
Ce que l’Oulipo interroge de l’atelier d’écriture, (Dialogue 156)
Le corps, l’écrit, ça n’allait pas de soi  (Cahiers de Po 73)

Chantier Mot & Sique, (Cahiers de Poèmes 73)
Interview d’Eric Baudet (Cahiers de Poèmes 73)
Ateliers d’écriture dans le cadre de regroupements d’adaptation  (Dialogue 148)
Passer au crible ou décrypter l’écrit  (Dialogue HS)
Travailler l’imaginaire en famille ? Quand les ateliers d’écriture du GFEN, rencontrent la CSF !  (Dialogue 146)

Annie Gleyroux
imageannieQui écrit l’histoire ? (Dialogue 109)
Poésie, baroque et liberté (Dialogue 117)
La langue du sujet : un enjeu collectif (Dialogue 124)

 


Christine Jeansous

imagechristineAtelier de création poétique A propos de l’acte d’écrire (Dialogue HS)
Écrire ses pratiques, un pouvoir d’action sur le réel à démultiplier (Dialogue 139)
A la rencontre d’un poète : Pierre Colin. Ecriture, lecture en CM2 (Dialogue 132)
Langue(s), un bien partagé ? (Dialogue 124)
Culture, civique, éthique, politique exemples d’actions culturelles (Dialogue 104)

Sylviane Maillet
Écriture – culture – aventure, Dialogue 145
Atelier ardoise et carton, aide ou coopération ?, Dialogue 135
Photocopie du quotidien, Dialogue 134
Petit théâtre d’objets, Dialogue 132
Rencontre avec les mots des autres, Dialogue 90
Les techniques : enfin une solution à vos problèmes d’écriture !, Les ateliers d’écriture, le pouvoir d’écrire.

Méryl Marchetti
image_MerylUn effet imprévu des TAP (Cahiers de poèmes 73)
5 proportions de l’improvisation (Cahiers de Po. 73)
Edito, Méryl Marchetti (Cahier de poèmes 73)
J’aime pas l’odeur du calfat, j’aime lire les hors-sujet (Dialogue 115)
Ateliers d’écriture : beaucoup de choses à se contre-dire (Dialogue 117)
Ce livre qui n’existe pas (Dialogue 156)
Vers l’atelier mutantiste (Dialogue 153)
La création n’est pas la cerise sur le gâteau (Lettre d’information aux adhérents du GFEN)
L’inconnu ne s’enseigne pas, il s’anime,  (Dialogue 156)
Intervention sur France culture

 

Josette Marty
imageJosetteNotes de lecture, poèmes de Michel Lac (Cahiers et Poèmes 73)
Ouverture vers l’orient (Dialogue 137)
L’atelier et la transmission de l’oeuvre poétique, à la rencontre de deux poètes : Rimbaud et Vallejo (Dia 136)
Petite méditation sur nos babels intérieures Où les sujets sont-ils trahis ? (Dialogue 124)
Atelier d’écriture et démarche d’auto-socio-construction, Quelles proximités ? (Dialogue 120)
Petite adresse à (Dialogue 117)
Ecrits pour de jeunes poètes (Dialogue 117)
L’atelier d’écriture, lieu de rupture pour le sujet écrivant (Le pouvoir d’écrire)
La narrativité : dire le monde pour le savoir (Dialogue 109)
Au commencement du tous capables dans l’écriture (Dialogue 109)
Le rap et la rime, un aperçu d’atelier (Dialogue 104)
L’infatigable voyageur (Dialogue 102)
Lire les brouillons d’enfants (Dialogue 96)
ENGAGÉE EN LITTÉRATURE…(Dialogue 95)
Déplier les signes, renouer le sens : la création comme travail du sujet (Dia 84)

Odette et Michel Neumayer
ImageNeumayer
Entre papier et internet (Dialogue 137)
Le système monde côté coeur, les apports de l’imaginaire (Dialogue 133)

La dialectique du centre et de la marge. Dans les parages d’Alechinsky (Dialgie HS)
Les ateliers de création dans les dispositifs d’accompagnement à la scolarité : un luxe ? Un loisir ? Une nécessité ?
 (Dialogue 126)
CONSTITUER LE POINT DE VUE DU TRAVAIL, UN ENJEU MAJEUR (Dia 124)
En quoi la poésie nous aide-t-elle à vivre ? Eloge de la récitation (Dialogue 117)
ATELIER « COSMOGONIES » (Dialogue 114)
La citoyenneté au féminin
 (Dia 109)
ATELIER « LES MOTS GARDENT LA MÉMOIRE » (Dialogue 107)
« CHAOS-MONDE » Une écriture et une réflexion dans les parages d’Edouard Glissant (Dialogue 98)
LE CONTE HYPERTEXTE (Dialogue 98)
Dix ans en Filigranes (Dialogue 80)
Poétique de la fabrication
A propos du fragment
L’atelier comme fiction  (Réconcilier poésie et pédagogie)
Traduire la langue des rêves  (Réconcilier poésie et pédagogie)

Ecrire dans les parages du texte, O et M Neumayer (Le pouvoir d’écrire)
Le mentir vrai, O et M Neumayer  (Le pouvoir d’écrire)
Sindbad le marin, O M Neumayer (Le pouvoir d’écrire)

Michel Perrin
imagePerrin« Ça parle dans ma tête, ça écrit dans ta main… », Dialogue 90
Mythes et créations enfantine, Réconcilier poésie et pédagogie, 1991
Mythes, rêves et création picturale, Dialogue 80
Atelier « Molas » avec Michel Perrin, Rêve, Mythe, Rite et Création, Dialogue 80

 

Odette Toulet
Variations en anamorphoses, Dialogue 117
De Fin’Amors aux leys d’Amors L’émergence de la culture au sein d’une société dominante, Dialogue 104
Ecrire, comme on part en voyage…, Dialogue 95
L’acte d’écrire, Dialogue 64
Un livre pour quoi faire, Un livre pour quoi faire, Odette Anna Toulet
Ecrire est un acte L’atelier d’écriture, le pouvoir d’écrire

Ecrire l’écart L’atelier d’écriture, le pouvoir d’écrire

Atelier d’écriture et construction du sujet (Le pouvoir d’écrire)

Henri Tramoy (Voir aussi le site de Soleils et cendre)
imageHenriEcrire, lire, éditer la « poésie » : une pratique contre l’accusation d’élitisme hermétique,(Dialogue 117)
ATELIER D’ÉCRITURE : SAVOIR ANIMER SE TRANSMET-IL ? (Dialogue 89)
soleils et cendre, une pratique de revue (Dialogue 80)