Qu’est ce qu’écrire, si les textes produits ne trouvent pas d’existence dans le tissus social ? Comment exister sans la critique ? Mais quelle critique ? La critique officielle qui passe par les réseaux reconnus ?
Et si nous générions, nous aussi une forme de critique, qui permet aux créateurs d’exister, d’avancer, d’entendre un discours sur leurs oeuvres ?
L’atelier est le lieu où ce premier regard de distanciation sur les textes, permet à celui qui écrit de trouver des ressorts, des points d’appui dans son écriture. L’atelier, le stage, la revue sont des lieux où une forme de critique peut naître, évoluer,
Tentons l’expérience… On verra ce qu’elle produira. Le chantier est ouvert.
Travail critique lors d’un stage arts plastique et écriture :
Stéphanie Fouquet (lire l’article « passer au crible ou décrypter l’écrit » dialogue
Dans un premier temps, nous avons construit un atelier qui interrogeait le rôle et l’importance de la critique. Cet atelier répondait à des questionnements personnels qui concernaient nos écrits, et leur place dans la littérature contemporaine.
Lorsqu’un recueil de poésie paraît un besoin criant apparaît : que deviennent nos textes ? La critique devient une nécessité, avoir le retour sur ce qui maintenant ne nous appartient plus, et qui a pris la forme d’un livre.
Elle, étrangère, poème de Michel Lac aux éditions de Surtis
Notes de lecture de Josette Marty.