Une improvisation poético-théorique de Michel Ducom
5 proportions de l’improvisation, (Cahiers de Poèmes 73, Méryl Marchetti)
Le travail physique que suppose la propulsion directe du texte en présence de ses destinataires s’est largement institutionnalisé, effaçant derrière des réoccupations esthétiques –quel style accroche le mieux et permet de surmonter la « rupture entre poésie et public », quelle stratégie de communication et d’occupation du terrain, quelle identité physique et sonore doit donner l’auteur– le poème, se libérer par la transformation de son langage.
Chantier Mot & Sique,
Un atelier expérimentation qui cherche autour de l’improvisation, ce qui pourrait faire l’objet d’un atelier. Un collectif pose ses bases en puisant dans tous les savoirs et savoirs-faire de ses participants. Les apports d’un conteur, d’un musicien improvisateur, d’une chanteuse, d’une comédienne, d’une slameuse… ouvriront des possibles. Tout est à faire.
Les ateliers poésie : la voix, le corps, l’écrit
Des atelier d’écriture et d’improvisation poétique orale avec des enfants de 6 ans. C’est possible. Et les enjeux sont de taille.
Atelier de mise en voix (Dialogue n°156, Savoirs et création, stéphanie Fouquet )
Le but est de montrer, qu’en prenant les élèves pour un collectif de créateurs, le rapport à l’œuvre, à l’écrit, l’implication du sujet, les ressorts pour se sortir des impasses ne sont plus les mêmes.
Prenons les pour capables et ils nous étonneront. Alors nous pourrons exiger le mieux, car ils seront impliqués. Pour cela, il est nécessaire d’assumer que nous aussi, nous puissions mener un travail de création avec les élèves, et de cela, nous sommes tous capables. Nous sommes tous capables de ne pas savoir écrire, nous sommes donc tous capables d’en éprouver la prise de risque et ainsi d’en protéger le groupe par une attitude constructive.