à l’école élémentaire

Atelier de mise en voix (Cycle 3)
Une manière d’approcher la création d’un texte collectif, l’improvisation, ou encore la lecture d’un texte littéraire.

Ateliers d’écriture dans le cadre de regroupements d’adaptation (cycle 2)
Interroger le travail d’écrivains, problématiser un obstacle d’écriture, le mettre en partage : voilà la force des ateliers d’écriture. Se dire que tout acte de création ne vient pas tout seul, mais que chacun peut en vivre les étapes et les conscientiser pour les faire siennes, c’est ce qui meut les concepteurs animateurs d’ateliers du GFEN. Le pari du « tous capables » y est sans cesse réinterrogé, mis en danger. Construire ensemble, c’est tellement plus fort qu’on finit par faire tomber les fatalités. Les obstacles se lèvent. La question se pose alors de l’utilité de ce type de démarche en milieu scolaire dans un regroupement d’adaptation…

Les ateliers poésie : la voix, le corps, l’écrit (Cahiers de Poèmes 73)
D
es atelier d’écriture et d’improvisation poétique orale avec des enfants de 6 ans. C’est possible.  Et les enjeux sont de taille.

Provisions pour l’hiver (Yves Béal, Dialogue Hors Série)
Atelier d’écriture créé à l’occasion des journées du GREN à Genève en 1999 par Yves Béal et Frédérique Maïaux, conseillers pédagogiques, à partir du livre « Frédéric » de Léo Lionni. Il a été animé dans le cadre du Groupe Départemental Maîtrise de la Langue dans le but de constituer une culture de référence en matière d’écriture de création avec de jeunes enfants de Cycle 1 et Cycle 2. 

Atelier de création poétique A propos de l’acte d’écrire (Dialogue Hors Série Christine Jeansous)
Le rôle de l’école est de faire construire la norme par les enfants. Non pas d’enfermer, ne de développer une attitude de soumission à la norme, mais de permettre un positionnement volontaire par rapport à celle-ci, volontaire et conscient des effets de sens possibles.

Écriture – culture – aventure (Sylviane Maillet, Dialogue )
Un livre est conçu pour être partagé… Les enfants allèrent voir le directeur pour qu’il vienne découvrir notre livre et son histoire. Mais surprise ! – quand celui-ci a voulu prendre connaissance de l’histoire – il ne la restituait pas telle que les enfants l’avait inventée. Et cela quel que soit le livre ! Quelle que soit l’histoire ! Pourtant chacun s’était appliqué ! Même celle où les dessins étaient identifiables. Seul l’âne avait été reconnu par le directeur !

De la page blanche à la scène… Peut-on écrire quand tout le passé scolaire nous serine le contraire… (dialogue Hors Série Yves Béal)
L’expérience que je vais évoquer ci-dessous s’est mise en place depuis plusieurs années maintenant dans plus de 20 lieux différents, avec des élèves d’écoles primaires, avec des classes de collèges, avec des classes de lycée et de lycée professionnel, avec des élèves d’atelier-relais, mais aussi dans le cadre de projets inter génération entre élèves d’école élémentaire et résidences pour personnes âgées. C’est dire si l’atelier d’écriture peut constituer un véritable outil pour prendre pouvoir sur l’écrit à tous les âges de la vie et quel que soit le cursus des participants.

Récréatio (Eloïse Durant, Dialogue 156)
Durant ses toutes premières semaines d’école primaire, un enfant de CP a participé dans le cadre des Nouvelles Activités Périscolaires (NAP) à un cycle de six ateliers d’écriture. Lors du dernier atelier, nommé « atelier-exploration », il a demandé à un des animateurs de lui épeler le mot « récréation », puis a écrit à l’aide d’une grosse craie blanche le mot Récréatio sur le sol de la cour de récréation.
Un peu plus tard, en lisant la fresque qui se matérialisait sur le sol, le mot que venait d’inscrire cet enfant m’a sauté aux yeux. J’y ai machinalement rajouté avec une autre craie de couleur le « n » que je considérais manquant. En repensant à cet évènement, j’ai pris conscience de mon incrédulité d’adulte, de cette pulsion qui cherche à rétablir la norme, au lieu de réinterroger le sens.

Retrouver le fil d’Ariane de nos origines… dans les classes élémentaires (Dialogue 137 Pascale Billeret, Khoulfia Léonard)
Ce travail a été expérimenté dans une école classée en Réseau Réussite Scolaire pour montrer que tous ces élèves, alors qu’ils n’avaient pas tous d’emblée les codes
culturels de compréhension de récits mythologiques, pouvaient s’en emparer véritablement grâce à une pratique régulière de lectures, de débats et d’écriture, en partant de leurs préoccupations originelles, filiales, universelles…

La poésie à l’école (Dialogue 117 Michel Poletto)
En alternance, en complémentarité dynamique à la lecture de poésies, je propose des situations d’écriture poétique dans la classe. Ces moments sont réguliers, tout au long de l’année, et pas seulement limités à une période car il me semble que c’est sur le long terme que l’on peut observer des évolutions dans les textes produits, des transformations dans le rapport à l’écriture, des ruptures dans les représentations qu’ont les enfants de l’écriture et de la création.

Activités pour s’initier au monde de l’écrit (Dialogue 115 Yves Beal et Martine Lacour )
Conduire les jeunes enfants dans leur conquête de l’écrit. Mais quel travail préparatoire de l’enseignant pour sa conduite de classe quand il s’agit pour nos petits apprenants de mettre en place des stratégies pour devenirs explorateurs de l’écrit ?

Charivari poétique… ou la poésie peut-elle « foutre le bordel » dans la pédagogie ? (Dialogue 118 Yves Béal)
Nous voilà loin de la récitation, nous sommes dans le récital et de cette expérience-là, pourquoi ne pas garder l’idée d’un récital tous les matins de chaque jour d’école, histoire de voir si la poésie ne nous transformerait pas le monde, du regard sur soi au regard sur les autres, du regard sur l’école au regard sur apprendre, du regard sur ce qui nous entoure au regard sur cette vie que les hommes ont comme richesse commune et qu’il faut s’employer alors à préserver, à rendre belle.

Voyage en poésie (Dialogue 117 Isabelle Ducastaing)
Une expérience d’écriture, un jeu de correspondance entre deux classes et un poète, Victor Hugo, selon le principe du Renga, forme poétique qui met en alternance des écrits produits par des interlocuteurs différents.

ATELIER « COSMOGONIES » (Dialogue 114 Odette et Michel Neumayer)
La contribution qui suit est née de l’hypothèse que ce qui se joue au moment de la rentrée des classes pourrait prendre un sens nouveau et inattendu à la lumière d’une problématique anthropologique fort ancienne, celle des commencements, celle de l’invention de mondes. Un parallèle pourrait-il être tenté entre ce moment inaugural de la vie des enseignants et des élèves qui, à la fois identique et pourtant
toujours différent, revient chaque année et ce que disent les récits des origines, les grandes cosmogonies qui ont traversé les siècles ?

PETITE RÉFLEXION SUR DES ACTES ORDINAIRES  (Dialogue 95 Michel Poletto) Atelier d’écriture et arts plastiques à l’école élémentaire en cycle 2.

Rencontre avec les mots des autres (Dialogue 90, Sylviane Maillet)
Les élèves l’avaient proposé au conseil d’enfants. Il fallait trouver différents types de situation pour que ceux qui tenaient des propos racistes dans l’école ou avaient des comportements analogues puissent réfléchir sur leurs attitudes. Après réflexion dans toutes les classes, les enfants envisagèrent de monter une pièce de théâtre et de faire les affiches. Des moyens qui permettaient de s’approprier des outils de réflexion sans passer par des formes moralisatrices ou des schémas de pensée stéréotypés qui ne laissent aucune place au sujet.

Dialogues sur la création (Dialogue 90, Pierre Colin)
Questions d’enfants, réponses provisoires. Ceci constitue quelques extraits de réponses faites à des enfants (d’âge variable : du CE2 au CM2) suite à un travail de création en ateliers d’écriture menés par les maîtres à partir de poèmes extraits du recueil « Une épine de bonheur »; ces réponses permettent de mesurer la pertinence et la maturité des questions que les enfants se posent sur la langue, le travail du poète, la socialisation de la poésie. Elles constituent pour un pédagogue, assumant ici un statut d’écrivain, un exercice difficile de dévoilement de ses processus de création, sans faire l’impasse sur la complexité du travail du langage créateur.

« Pas besoin d’être écrivain pour qu’ils écrivent » (Dialogue 90 Liliane Lefevre) Témoignage d’une enseignante de CP : faire écrire pour de bon ???

L’imaginaire pour construire le monde (Dialogue 90 Martine Fochesato)
Aujourd’hui, le discours pédagogique institutionnel « fait l’article » des ateliers d’écriture. Mais les dimensions de l’imaginaire et de la création individuelle n’y apparaissent que contraintes et canalisées par des objectifs ciblés et hiérarchisés de technicité de l’écriture. Aussi, le volontarisme des pratiques utilitaires de la langue néglige-t-il l’inestimable effervescence que génère la sollicitation des univers mythologiques et poétiques de chaque sujet.

DIRE – LIRE – ECRIRE Atelier d’écriture autour d’un poète (Dialogue 90 Annick Jay)
Tous ces éléments m’ont conduit à mettre en chantier en classe de C.P. des ateliers d’écriture poétique basés sur l’écoute de poèmes de poètes contemporains (pas forcément des poèmes dits pour enfants), avec des temps très fréquents de lecture de poèmes, des temps d’écriture avec tutorat d’élèves de C.M., des temps d’écriture collective, d’écriture individuelle, des temps de lectures et de discussions autour des productions ; ceci afin d’avancer ensemble dans la recherche, dans les confrontations, mais aussi dans le plaisir de ce vaste chantier de travail sur/dans la langue et réussir à constituer en fin d’année scolaire une première anthologie de poésies avec des textes collectifs, des textes individuels, des textes d’auteurs contemporains.

Et nous délivrerons les mots (Dialogue 85 Yves Béal)
Cet atelier sera un peu présenté comme une recette, avec des données brutes des différentes étapes de la préparation et de la réalisation. Cependant comme toute recette, elle est à réinventer en fonction des ingrédients que l’on a sous la main, des destinataires du plat, de mon humeur du moment, de la couleur que je veux donner à ce que je dégusterai enfin.

Une véritable pédagogie coopérative de l’écriture, l’urgence déchire l’impatience des mots (Dialogue 67 Annick Jay)
Un nouveau débat s’est alors installé : que faut-il faire pour qu’un texte soit poétique ? Nous avons dressé un tableau de tout ce qui était possible.

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